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Dessins et plans | Photographie | Biologie | Arbres phylogénétiques | Biologie marine | Eucaryotes (cellules) | ADN | Populations | Biologie animale | Bactéries | Biosphère | Archaea | Vie (biologie) | Écologie | Taxinomie phylogénétique | Biocénoses | Biocénoses -- Structure trophique | Biomes | Communautés | Écosystèmes | ...
Représentation de l'ordre du vivant. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f71462-representation-de-l-ordre-du-vivant

Représentation de l'ordre du vivant

Représentation de l'ordre du vivant.

Arbre phylogénétique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5209dbbd-arbre-phylogenetique

Arbre phylogénétique

Arbre phylogénétique hypothétique de tous les organismes vivants. L'arbre est basé sur des séquences de l'ARNr 16S. À l'origine proposé par Carl Woese, il montre l'histoire évolutive des trois domaines du vivant (bactéries, archaea et eucaryotes).

Arbre Phylogénétique de la vie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51afaa95-arbre-phylogenetique-de-la-vie

Arbre Phylogénétique de la vie

Arbre phylogénétique hypothétique de tous les organismes vivants. L'arbre est basé sur des séquences de l'ARNr 16S. À l'origine proposé par Carl Woese, il montre l'histoire évolutive des trois domaines du vivant (bactéries, archaea et eucaryotes). Carl Richard Woese (1928–2012) est un microbiologiste américain, connu principalement pour ses travaux de phylogénie moléculaire du vivant et pour la définition, en 1977, du domaine Archaea (un des trois domaines ou règnes primaires du vivant). Il réalise de telles découvertes par l'analyse phylogénétique de la séquence de l'ARN ribosomique 16S, une technique qu'il mit au point avec ses collaborateurs et qui est de nos jours celle employée pour classer toute nouvelle espèce bactérienne ou archée. Il a également proposé en 1967 l'antériorité de l'ARN sur l'ADN, théorie reprise en 1986 par Walter Gilbert sous le nom de RNA world.

Autruchon. Source : http://data.abuledu.org/URI/538797d5-autruchon

Autruchon

Poussin s'autruche (Struthio camelus). À quatre semaines, le jeune présente un duvet épineux chamois à pinceaux blancs et arbore des taches noires au cou. Les adultes prennent grand soin de leurs jeunes, parfois pendant une année entière. Si la nourriture est abondante, les autruchons seront abandonnés beaucoup plus tôt par leurs parents. Les petits seront alors pris en charge par un groupe de femelles, accompagnées ou non de petits. Ce phénomène d'adoption est très important dans les populations vivant en groupe, car il contribue à limiter les problèmes de consanguinité dans le troupeau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autruche_d%27Afrique

Esturgeon de Sibérie et Chimère. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d83e61-esturgeon-de-siberie-et-chimere

Esturgeon de Sibérie et Chimère

Planche N° 113 du livre "Le règne animal distribué d'après son organisation" par Georges Cuvier (Tome 8), seconde édition de 1828, représentant en haut un sterlet ou esturgeon de Sibérie (Acipenser ruthenus), et en bas une chimère (Chimaera monstrosa). Les chimères ou chimériformes (Chimaeriformes) forment un ordre de poissons cartilagineux vivant dans les abysses, dont le représentant le plus connu est la chimère commune. Les Chimères sont des animaux plutôt benthiques qui vivent dans les océans tempérés et peuvent atteindre 2 m de long. Comme tous les membres des chondrichthyens, elles ont un squelette cartilagineux. Leur peau est douce et leur couleur peut aller du noir au gris-brun. Pour se défendre, les chimères ont un aiguillon venimeux sur leur aileron dorsal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chim%C3%A8re_%28poisson%29.

Étoile de mer commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148969c-etoile-de-mer-commune

Étoile de mer commune

Étoile de mer commune (Asterias rubens). Les étoiles de mer (Asteroidea) forment une classe d'échinodermes. On dénombre au moins 1 500 espèces réparties dans plus de 30 familles vivant dans tous les océans. Elles ont généralement 5 bras, mais peuvent en avoir plus. Celles-ci ont une espérance de vie d'environ 4 à 5 années. Elles sont un symbole maritime important. L'espèce la plus répandue et la plus étudiée est l'étoile de mer commune. Certaines espèces ont la possibilité de se régénérer, c'est-à-dire la capacité de faire repousser un ou plusieurs de leurs bras si elles en sont détachées. Un bras perdu peut être régénéré en moins d'un mois. Elle se nourrit grâce à son orifice buccal, situé sur sa face ventrale et composé de cinq « dents ». Ses pièces buccales sont d'ailleurs un élément qui sert pour sa classification. L'étoile de mer est principalement un prédateur, mais quelques espèces sont filtreurs. Son régime alimentaire est principalement constitué de proies immobiles ou se déplaçant lentement.

Grande nacre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20a60-grande-nacre

Grande nacre

Nacre géante (Pinna nobilis), longueur réelle environ 60cm, coquillage bivalve protégé de Méditerranée, de couleur rouge vivant enfiché verticalement dans les fonds sableux, souvent couverts d'herbiers de posidonie (Posidonia oceanica). C'est l’un des plus grands coquillages existant dans le monde (elle peut dépasser 1 m de long). Jadis abondante sur le littoral français, elle a été décimée par la pollution, fragilisée par le recul des herbiers à posidonie, par les ancrages et les chalutages, mais aussi par les plongeurs avides de souvenirs originaux ; elle est aujourd'hui devenue très rare. Elle est protégée en France depuis le 26 novembre 1992 et sa pêche est interdite. Elle recèle souvent des crustacés vivant à l'intérieur.

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e29b-le-reseau-trophique-dans-la-chaine-alimentaire

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire

Principes des flux et "pertes" d'énergie dans le réseau trophique (chaîne alimentaire). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique. C'est un concept théorique de l'Écologie qui permet de mieux cerner ou expliquer certaines relations entre espèces (relations prédateur-proie notamment), les cycles et flux d'énergie et de nutriments dans les écosystèmes, les réseaux trophiques ainsi que les phénomènes de bioconcentration dans la pyramide alimentaire, qui ont une grande importance en écotoxicologie.

Le vivant et la biodiversité. Source : http://data.abuledu.org/URI/588ca1ee-le-vivant-et-la-biodiversite

Le vivant et la biodiversité

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du Vivant et de la Biodiversité. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : ADN, cellules, organes, individus, populations, communautés, biocénoses, écosystèmes, paysages, biomes, biosphère.

Limule. Source : http://data.abuledu.org/URI/54140b26-limule

Limule

Limule (Limulus polyphemus) - 55 cm (vue dorsale)- Côte Est des Etats-Unis. La famille des Limulidae (du latin scientifique limulus) regroupe les quatre espèces de limules survivantes. Ce sont des arthropodes marins ressemblant à des crabes ayant une forme de fer à cheval (d'où le surnom de "crabe fer à cheval"). Considéré comme une véritable forme panchronique (anciennement appelée "fossile vivant"), son groupe semble n'avoir pratiquement pas évolué morphologiquement depuis plus de 500 Ma. Il ne s'agit pas d'un crustacé mais d'un chélicérate (appendice buccal en forme de crochet ou de pince), comme les araignées et les scorpions. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Limulidae.

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f09c-niveau-d-organisation-et-d-integration-du-vivant

Niveau d'Organisation et d'Intégration du Vivant

Graphique représentant les différents niveaux d'organisation ou d'intégration du vivant. Il ne s'agit pas d'une hiérarchie, mais d'une présentation simplifiée, des niveaux étudiés par les biologistes et écologues : biosphère, biomes, paysages, écosystèmes, biocénoses, communautés, populations, individus, organes, cellules, molécules/ADN.

Pyramide des étages trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a51a7-pyramide-des-etages-trophiques

Pyramide des étages trophiques

Schéma vierge de la pramide des étages trophiques (vectorisation Cyrille Largillier, novembre 2013). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au-dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique.

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Trois types de distribution de la population. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7f4b2-trois-types-de-distribution-de-la-population

Trois types de distribution de la population

Les trois grands types de dispersion de la population. De haut en bas : la dispersion égale, la dispersion inégale et la dispersion insulaire. La distribution spatiale, en écologie, désigne l’arrangement spatial des organismes vivant dans leur milieu naturel. Elle peut aussi se définir comme la fluctuation spatiale de l’abondance des organismes dans leur aire de répartition1. Trois formes de dispersion sont généralement reconnues : égale, inégale et insulaire. La dispersion égale est celle où les organismes sont uniformément répartis dans l’espace. Les dispersions inégale et insulaire représentent les cas où les organismes ne sont pas uniformément répartis dans l’espace. La dispersion inégale donne une apparence d’arbitraire. Toutefois, les organismes sont très rarement dispersés arbitrairement dans un espace. Leur localisation est presque toujours étroitement influencée par divers facteurs biologiques et environnementaux. Dans la dispersion insulaire, les organismes forment des regroupements ou des îlots dans l’espace.